« Il peint des femmes ; il les peint (nda: parfois) sans visage, comme pour préserver l’anonymat de ces poseuses. Une épaule délicatement dévoilée, des portes jarretelles aguicheurs, un éventail coquin,… chacun de ses tableaux glorifie une couleur des nuances de rouges, des oranges flamboyants, des effusions de bleus, de verts…… le relief des dentelles, les transparences des bas, la douceur de la soie, cette perfection est à elle seule une tentation pour le voyeur impudent chez lequel peut naître l »envie d’effleurer des doigts le tableau ». ( extrait du journal La Montagne )





































